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Les plantes sauvages à fleurs blanches (et comestibles)

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Je souhaite partager cet article au sujet des plantes sauvages à fleurs blanches. Je me suis exclusivement intéressé aux plantes comestibles faciles à identifier. Si cet article est loin d’être exhaustif, j’espère néanmoins qu’il pourra vous aider. Je vous invite à vous procurer une flore ou un guide pour bien identifier les plantes sur le terrain. Apprendre à identifier les plantes sauvages comestibles est selon moi essentiel pour les personnes qui s’intéressent de près ou de loin à l’autonomie. Essayez de profiter de vos sorties en pleine nature pour pratiquer et acquérir ces connaissances.

J’ai préféré omettre les plantes sauvages à fleurs blanches faisant partie de la famille des Apiacées. En effet, cette famille comprend à la fois des plantes mortelles et toxiques. Je leur consacrerai un article complet plus tard.

Cliquez sur les photos pour les agrandir.

Achillée millefeuille – une plante sauvage à fleurs blanches

L’achillée millefeuille est l’une des plantes les plus faciles à reconnaître, notamment grâce à ses feuilles et à l’odeur aromatique qu’elle dégage au froissement. Ses magnifiques petites fleurs blanches font partie d’une inflorescence en corymbe. Elles peuvent parfois être de couleur blanc sale ou rosée. Vous la retrouverez chaque année au même endroit.

Ses jeunes feuilles sont comestibles et délicieuses en salade, associées à d’autres plantes. C’est une plante très aromatique dont l’amertume peut toutefois déranger certaines personnes. Avec le temps, elles sont moins agréables et doivent être blanchies ou cuites. La saveur de ses fleurs blanches est plus délicate. C’est par ailleurs une plante médicinale.

L’achillée millefeuille fleurit entre juin et septembre. Vous pouvez toutefois apercevoir ses belles fleurs blanches en hiver si le temps est doux.

Elle pousse un peu partout, au bord des routes, dans les pelouses ou dans les prés. Sa présence indique généralement que le sol est carencé en azote et en cours de lessivage et d’érosion. L’achillée millefeuille est bien sûr présente en France, en Belgique, en Suisse, en Amérique du Nord et sur la plupart des autres continents.

L’ail des ours : la plante des sous-bois

Autre plante sauvage à fleurs blanches : l’ail des ours (Allium ursinum). Pour la petite histoire, son nom vient du fait que les ours ont l’habitude de consommer cette plante pour se purger après leur hibernation. Après l’avoir reconnu une première fois, vous ne pourrez plus la manquer. Il suffit de froisser ses feuilles pour que se dégage une puissante odeur d’ail. Elle couvre généralement le sol et est présente en grande quantité. Sa fleur blanche est remarquable, mais est néanmoins le signe que les feuilles sont déjà âgées, et donc moins tendres en bouche.

Il est préférable de cueillir ses feuilles avant l’apparition de ses jolies fleurs blanches, notamment pour les manger crues en salades ou en faire du pesto. Si vous les cueillez plus tard, vous devrez les hacher ou les faire cuire pour les rendre plus digestes.

Il s’agit là aussi d’une plante vivace. Vous retrouverez donc ces tapis d’ail des ours d’année en année.

Ses belles fleurs blanches apparaissent généralement entre mars et juin et sont aussi comestibles, tout comme la hampe florale qui, une fois cuite, rappelle le goût du poireau. 

L’ail des ours apprécie les sols frais et humides, les bords de ruisseaux, les sous-bois et les bords de chemin. Sa présence indique que le sol est riche en azote et en bases.

Le lamier blanc

Aussi appelé « ortie blanche », le lamier blanc (Lamium album L.) fait partie des plantes sauvages à fleurs blanches. Il s’agit d’une plante vivace pouvant mesurer jusqu’à 60 cm de hauteur. Elle est reconnaissable en partie grâce à ses fleurs blanches bilabiées en « gueule de loup ». Elles ont une saveur légèrement sucrée très appréciée par les enfants. Bien qu’il fasse partie de la famille des Lamiacées, à l’instar de la menthe, l’origan ou la lavande, le lamier blanc n’est pas aromatique. La plante a toutefois bon goût.

Les feuilles sont comestibles crues ou cuites. Comme la plupart des plantes, vous pouvez le faire sécher, le broyer, et obtenir une poudre nutritive que vous pourrez ajouter à vos potages. Pour la petite histoire, certaines espèces de lamiers sont mangées comme légumes au Japon. C’est aussi une plante médicinale.

Le lamier blanc est assez répandu en France jusqu’à 2200 mètres d’altitude et est présent sur la plupart des continents. Il pousse au soleil ou à la mi-ombre, sur les bords de chemins, dans les prairies et les haies. Sa présence témoigne d’un sol frais et riche en éléments nutritifs tels que l’azote.

Je pourrais aussi citer le lamier pourpre (Lamium maculatum), une autre plante comestible qui lui ressemble, mais qui n’a pas de fleurs blanches.

La mélisse officinale : une autre plante de la famille des Lamiacées

La mélisse fait elle aussi partie des plantes sauvages à fleurs blanches. On la cultive généralement pour son délicieux arome citronné. C’est une plante bien connue et utilisée depuis l’Antiquité pour ses essences aromatiques et ses propriétés médicinales.

Ses fleurs blanches et ses feuilles sont idéales pour apporter une touche aromatique en cuisine, notamment en remplaçant le citron dans les recettes.

La mélisse officinale pousse jusqu’à 800 mètres d’altitude en France et est présente sur la plupart des continents. Elle se développe au soleil ou à la mi-ombre et apprécie les sols frais.

L’alliaire officinale : une délicieuse plante à l’odeur d’ail

Aussi appelée « herbe à l’ail » (Alliaria petiolata), cette plante sauvage à fleurs blanches fait partie de la famille des brassicacées, à l’instar des choux. Elle est bisannuelle et peut mesurer jusqu’à 90 cm. Ses feuilles sont plutôt rondes à la base et deviennent triangulaires au fur et à mesure sur la tige. Vous pouvez là aussi froisser l’une de ses feuilles entre vos doigts pour bien la reconnaître : si vous sentez une délicieuse odeur d’ail, c’est l’alliaire.

C’est une plante qu’il peut être utile d’apprendre à reconnaître. En effet, ses feuilles présentes à la base sont visibles en hiver. On peut les déguster crues, ajoutées à une salade. La cuisson tend à les rendre plus amères. Sa fleur blanche est également comestible.

L’alliaire officinale est très commune jusqu’à 1000 mètres d’altitude en France. Elle pousse généralement dans les lieux ombragés et frais à l’instar des sous-bois, des bords de ruisseaux ou de certains chemins. Sa présence témoigne d’un sol riche en bases, mais carencé en azote.

La bourse à pasteur – de discrètes petites fleurs blanches

Les petites fleurs blanches à 4 pétales de cette plante sont visibles presque toute l’année selon la région. La bourse à pasteur (Capsella bursa-pastoris) fait elle aussi partie de la famille des brassicacées, la famille des choux. Elle peut être annuelle ou bisannuelle et mesure entre 15 et 40 centimètres. Elle est facilement reconnaissable, notamment au stade de fruits. Ces derniers sont en effet en forme de cœur, ou de bourse.

Ses feuilles ont un délicieux goût de cresson et sont consommées depuis l’Antiquité. Elle est appréciée comme légume sauvage en Italie, à Chypre, en Bosnie ou en Turquie. On la vend même sur les marchés en Chine. Ses fleurs blanches ont une saveur légèrement sucrée.

C’est au stade de rosette que son goût est le meilleur, directement crue ou cuisinée. La bourse à pasteur est aussi une plante médicinale. Elle pousse la plupart du temps comme adventice dans les potagers, dans les prairies ou sur les bords de chemin. Sa présence témoigne d’un sol trop compact riche en bases.

La cardamine hérissée : une plante à fleurs blanches

Autre plante de la famille des Brassicacées : la cardamine hérissée (Cardamine hirsuta). Sa fleur blanche est assez discrète, mais facilement reconnaissable grâce à ses 4 pétales caractéristiques des plantes de la famille des choux. Elles sont disposées en grappes. La cardamine fleurit généralement de mars à juin.

Ses feuilles ou ses fleurs blanches ont une saveur légèrement piquante, voire amère. Elles ont été consommées partout dans le monde. Elles permettent de relever un plat ou une salade un peu fade. Si leur amertume est trop prononcée, n’hésitez pas à les faire cuire. Sachez toutefois que le goût de ses petites fleurs blanches est plus subtil et agréable.

On la trouve communément dans toute la France et dans le monde entier. Elle pousse spontanément comme adventice sur les sols argileux, acides ou riches en bases.

Je peux aussi citer la cardamine des prés (Cardamine pratensis), la cardamine des bois (Cardamine flexuosa) ou encore la cardamine amère (Cardamine amara). Elles sont elles aussi comestibles. Leurs fleurs prennent parfois une teinte rosée. Ces différentes espèces sont généralement visibles toute l’année, même en hiver. Ce sont donc des plantes qu’il peut être intéressant d’apprendre à reconnaître dans le cadre de la survie ou de l’autonomie.

Le cresson officinal

Autre plante sauvage à fleurs blanches : le cresson officinal (Nasturtium officinale), couramment appelé « cresson des fontaines ». Vous le connaissez peut-être déjà puisqu’il est parfois vendu dans certains magasins. Ses fleurs blanches à 4 pétales sont assez discrètes. Elles apparaissent généralement de mai à septembre. Cette plante est vivace et mesure généralement entre 10 et 60 cm de hauteur.  

Le cresson est une plante glanée et consommée depuis très longtemps. Il est cultivé en France depuis 1811, date à laquelle on crée les premières cressonnières.  Pour la petite histoire, James Cook a réussi à préserver son équipage de la maladie pendant ses trois tours du monde grâce à cette plante.  Elle est en effet très riche en vitamine C. Le cresson fait partie des plantes sauvages à fleurs blanches à la fois comestibles et médicinales.

Si sa saveur est plus agréable au printemps, c’est une plante qu’il est possible de consommer toute l’année.

Attention, le cresson est une plante parfois contaminée par la douve du foie, notamment à proximité des pâtures où se trouve le bétail. Le seul moyen de tuer ce parasite est de cuire la plante. Je ne vous recommande pas de consommer le cresson cru, à moins que vous le cultiviez.

Les camomilles

Il est courant de confondre les espèces de camomille les plus connues : la camomille romaine (Chamaemelum nobile), la camomille matricaire (Matricaria chamomilla L.) et la grande camomille (Tanacetum parthenium). Ce sont toutes des plantes sauvages à fleurs blanches. Elles font partie de la famille des Astéracées, leurs fleurs ont donc une particularité. En effet, ce que l’on perçoit généralement comme une fleur blanche avec un centre jaune est en réalité une inflorescence en capitule. Chaque « pétale » blanc est une fleur blanche ligulée et chaque tube jaune au centre est une fleur tubulée. Elles fleurissent de mai à août.  

Elles ont la particularité d’être très aromatiques. La camomille romaine a d’ailleurs été utilisée pour aromatiser les liqueurs et les bières. Les capitules de la camomille matricaire sont utilisés en tant que condiment en Catalogne. Leurs inflorescences sont généralement employées à des fins médicinales.

On les trouve assez facilement en France jusqu’à 1200 mètres d’altitude. Elles poussent également en Europe et en Asie.  Les camomilles apprécient les sols basique et argileux et apparaissent lorsque le sol est retourné, au bord de chemins, etc. Ce sont des plantes pionnières.

La pâquerette

Autre plante très connue : la pâquerette (Bellis perennis). Il ne s’agit là pas non plus d’une fleur blanche, mais bel et bien d’une inflorescence en capitule. Nous la voyons quotidiennement sans forcément lui porter attention. C’est pourtant une plante comestible visible toute l’année.

Le goût de ses feuilles peut ne pas plaire à tout le monde, raison pour laquelle il est préférable de les ajouter à une salade composée. La saveur du capitule est toutefois beaucoup plus agréable : ce qui est parfait pour agrémenter les salades.

Les jeunes rosettes sont consommées crues dans certaines régions d’Italie. Les boutons floraux sont même parfois préparés comme les câpres et conservés dans du vinaigre. Il s’agit en outre d’une plante médicinale.

La pâquerette est présente partout en France, en Belgique, en Suisse ou au Québec. Elle s’est naturalisée un peu partout dans le monde. Elle pousse généralement dans les pâturages, les bords de chemins et les gazons. Sa présence témoigne d’une décalcification des sols en cours d’érosion.

L’exemple suivant est l’une des plantes sauvages à fleurs blanches les plus connues.

Le fraisier des bois 

Voici une plante que vous savez peut-être déjà reconnaître : le fraisier des bois (Fragaria vesca). Ses fleurs blanches et ses feuilles sont facilement reconnaissables. Saviez-vous que vous pouviez consommer ses jeunes feuilles en tisanes ? Elles sont riches en vitamine C et en sels minéraux. C’est une plante que l’on connait pour ses délicieux fruits, mais qui est pourtant entièrement comestible.

Sa fleur blanche est évidemment comestible, mais il vaut mieux les laisser sur la plante pour pouvoir déguster les délicieuses fraises des bois plus tard.

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Le mouron blancune plante à fleurs blanches étoilées

Cette plante aux fleurs blanches est l’une de mes plantes sauvages préférées : le mouron blanc (Stellaria media), aussi appelé « mouron des oiseaux » ou « stellaire ». Il s’agit d’une plante annuelle qui pousse en tapis. Sa magnifique fleur blanche en étoile peut vous aider à l’identifier.

C’est une très bonne plante comestible, notamment lorsqu’elle est jeune. Après la floraison, ses tiges ont tendance à devenir filandreuses, raison pour laquelle il est préférable de ne cueillir que les jeunes pousses. Elle est visible toute l’année, ce qui est parfait pour glaner en randonnée.

La fleur blanche du mouron blanc est tout aussi comestible que les feuilles. Vous pouvez d’ailleurs les consommer crues ou cuites. Elles ont une subtile saveur de noisette.

Le mouron des oiseaux est présent partout en France et est répandu sur presque tous les continents. Cette plante apparaît souvent spontanément dans les jardins et les sols humides. Elle témoigne d’un sol aéré et bien équilibré en azote et en carbone.

Veillez à ne pas le confondre avec le mouron rouge, entièrement glabre et dont les feuilles sont ponctuées de petits points noirs dessous.

Le gaillet gratteron – la plante velcro aux fleurs blanches

Le gaillet gratteron (Galium aparine) est une plante que vous connaissez peut-être, notamment à cause de ses feuilles ou de ses fruits qui s’attachent aux vêtements. Il s’agit d’une plante annuelle qui peut atteindre 2 mètres de hauteur. C’est une adventice très résistante du potager. Sa fleur blanche est assez discrète.

Le gaillet gratteron est une plante comestible lorsqu’elle est jeune. Elle dégage une agréable saveur de petits pois. Il est possible de préparer un succédané de café à partir de ses diakènes ou d’extraire des pigments à partir de sa racine.

Le gaillet gratteron est très commun en France jusqu’à 1 700 mètres d’altitude en moyenne. Il est aussi présent partout dans le monde. Les bords de chemins lui plaisent, tout comme les lisières de forêts ou les friches. Sa présence témoigne d’un sol fertile à tendance basique.  

La mâche sauvage l’une des meilleures plantes sauvages à fleurs blanches

La mâche sauvage (Valerianella locusta), aussi appelée « doucette », est une plante sauvage que j’apprécie particulièrement. Il s’agit d’une plante annuelle pouvant mesurer jusqu’à 30 cm. Ses petites fleurs blanches apparaissent rapidement : la mâche ayant un cycle de vie de 3 à 4 mois. Vous pourrez facilement l’observer à partir de l’hiver jusqu’au début de l’été.

Sa saveur rappelle celle de la mâche cultivée que l’on trouve sur nos étales. Elle est délicieuse crue en salade lorsque ses tiges sont encore tendres. Pour la petite histoire, Pierre de Ronsard promouvait sa cueillette dans les vers de ses poèmes au XVIe siècle, alors que la haute société la dédaignait.

La mâche sauvage est une plante que l’on trouve assez facilement jusqu’à 1 600 mètres d’altitude en France. Elle est présente en Europe, en Amérique du Nord et sur d’autres continents. La mâche sauvage pousse la plupart du temps au soleil, dans les prairies sèches et les sols à tendance basique. Elle tolère néanmoins un peu d’acidité. C’est une adventice qui s’immisce facilement dans les cultures. Elle témoigne toutefois d’un sol carencé en azote et en carbone.

Téléchargez 4 cartes mentales

Vous pouvez télécharger 4 cartes mentales : les arbres comestibles ; les baies toxiques ; l’ail des ours ; l’herbe à curry.

Il sera possible de les imprimer et les emporter sur le terrain ou les consulter régulièrement pour ancrer ces nouvelles informations. Vous recevrez également les prochaines ressources publiées concernant les plantes sauvages.

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Ressources utilisées pour écrire cet article :

-Tela Botanica. (s. d.). Consulté à l’adresse https://www.tela-botanica.org/
-Couplan F. (2019). Reconnaître facilement les plantes. Identifier, toucher, préparer, goûter. Delachaux, Paris, 256 p.
-Couplan F. (2017). Le régal végétal – Reconnaître et cuisiner les plantes comestibles. 2017e éd. Vol. 1. Sang de la Terre, Paris, 528 p.
-Moutsie, & Ducerf G. (2021). Récolter les jeunes pousses des plantes sauvages comestibles. 3ème édition. De terran, Escalquens, 304 p. En savoir plus.
-Schauer T., Caspari C., & Caspari S. (2020). Les plantes par la couleur. 5e éd. Delachaux & Niestlé, Paris, 496 p. En savoir plus.
-Tison J.-M., & de Foucault B. (2014). Flora Gallica. Biotope Editions, Mèze, 1195 p.

Yvann Robinet
Yvann Robinethttps://bosquetsauvage.com
Je souhaite transmettre mes connaissances relatives aux plantes, partager mon intérêt pour l'autonomie et le développement de soi, promouvoir la connexion entre l'humanité et le monde naturel, remettre au goût du jour les mythes, les contes et les traditions anciennes. Actuellement élève de deuxième année au Collège Pratique d'Ethnobotanique (créé par François Couplan), je proposerai prochainement des activités sur le terrain dans le massif des Ardennes. Je vous en parle bientôt...

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